la dimension commerce équitable de them

Participer à mon échelle à la préservation de savoir-faire ancestraux.

Je vous livre, à travers de cet article, quelle est ma relation avec les artisans qui tissent les sublimes tapis Béni Ouarain, tapis Azilal et autres objets de décoration que je déniche aux 4 coins du monde pour THEM.

En créant THEM, je suis partie d’un constat simple. La plupart des boutiques qui proposent de l’artisanat du monde et notamment des tapis berbères, que ce soit des tapis berbère colorés ou des tapis berbère noir et blanc ne sont pas rares. Par contre ? Les boutiques qui mettent en avant les artisans, et leur savoir-faire le sont. Pour moi, ce qui est beau dans un objet fait-main est l’objet en lui-même mais aussi et surtout son histoire. Je me suis rendue compte que les boutiques ne parlaient pas de cette histoire parce qu’elles ne la connaissaient pas. La plupart achètent à des intermédiaires. Le salon Maison et Objets en partie ou au souk de Marrakech pour les tapis Béni Ouarain, tapis Azilal, Boucherouite

Pas de contact avec l’artisan donc aucun moyen de connaître vraiment l’histoire des créations. Un constat qui a débouché sur une envie… partir à l’aventure arpenter le monde à la rencontre des artisans les plus talentueux et surtout apprendre de leur savoir. Me voilà alors partie direction les montagnes berbères Marocaines. Les femmes tisseuses de tapis berbères m’ont fasciné. Leur savoir-faire est si exceptionnel. Leur créativité est sans limites. Le cadre est magique. D’autres voyages ont suivi. Colombie. Indonésie. Jordanie… À chaque voyage ses nouvelles rencontres. Ses nouveaux trésors.

Supprimer les intermédiaires et être en contact direct avec les artisans m’a permis de connaître les merveilleuses histoires des tapis Béni Ouarain, tapis Azilal, céramiquecoussins et autres objets que j’achetais, mais pas seulement... Ce qui était également important pour moi dans ma démarche du « sans intermédiaire » était de connaître exactement la valeur qui revenait à l’artisan. Les femmes tisseuses de tapis berbères du Maroc, les teinturiers du Mali, les indigènes de Colombie… tous ces artisans ont de l’or dans les mains, ont un véritable talent. Il était donc primordial pour moi que leur rémunération soit contrôlée et équitable. Acheter à un intermédiaire ne permet pas ce contrôle. Les coûts sont souvent diminués et les artisans ne sont pas rémunérés à leur juste valeur. Chez THEM, en moyenne, 50% du prix de vente est reversé à l’artisan. Un mode de fonctionnement différent pour atteindre mon objectif. Participer à mon échelle à la préservation de savoir-faire ancestraux.

Marion, la fondatrice.

Découvrez ma sélection de tapis berbères ici.

la dimension commerce équitable de them

Participer à mon échelle à la préservation de savoir-faire ancestraux.

Je vous livre, à travers de cet article, quelle est ma relation avec les artisans qui tissent les sublimes tapis Béni Ouarain, tapis Azilal et autres objets de décoration que je déniche aux 4 coins du monde pour THEM.

En créant THEM, je suis partie d’un constat simple. La plupart des boutiques qui proposent de l’artisanat du monde et notamment des tapis berbères, que ce soit des tapis berbère colorés ou des tapis berbère noir et blanc ne sont pas rares. Par contre ? Les boutiques qui mettent en avant les artisans, et leur savoir-faire le sont. Pour moi, ce qui est beau dans un objet fait-main est l’objet en lui-même mais aussi et surtout son histoire. Je me suis rendue compte que les boutiques ne parlaient pas de cette histoire parce qu’elles ne la connaissaient pas. La plupart achètent à des intermédiaires. Le salon Maison et Objets en partie ou au souk de Marrakech pour les tapis Béni Ouarain, tapis Azilal, Boucherouite

Pas de contact avec l’artisan donc aucun moyen de connaître vraiment l’histoire des créations. Un constat qui a débouché sur une envie… partir à l’aventure arpenter le monde à la rencontre des artisans les plus talentueux et surtout apprendre de leur savoir. Me voilà alors partie direction les montagnes berbères Marocaines. Les femmes tisseuses de tapis berbères m’ont fasciné. Leur savoir-faire est si exceptionnel. Leur créativité est sans limites. Le cadre est magique. D’autres voyages ont suivi. Colombie. Indonésie. Jordanie… À chaque voyage ses nouvelles rencontres. Ses nouveaux trésors.

Supprimer les intermédiaires et être en contact direct avec les artisans m’a permis de connaître les merveilleuses histoires des tapis Béni Ouarain, tapis Azilal, céramiquecoussins et autres objets que j’achetais, mais pas seulement... Ce qui était également important pour moi dans ma démarche du « sans intermédiaire » était de connaître exactement la valeur qui revenait à l’artisan. Les femmes tisseuses de tapis berbères du Maroc, les teinturiers du Mali, les indigènes de Colombie… tous ces artisans ont de l’or dans les mains, ont un véritable talent. Il était donc primordial pour moi que leur rémunération soit contrôlée et équitable. Acheter à un intermédiaire ne permet pas ce contrôle. Les coûts sont souvent diminués et les artisans ne sont pas rémunérés à leur juste valeur. Chez THEM, en moyenne, 50% du prix de vente est reversé à l’artisan. Un mode de fonctionnement différent pour atteindre mon objectif. Participer à mon échelle à la préservation de savoir-faire ancestraux.

Marion, la fondatrice.

Découvrez ma sélection de tapis berbères ici.